Responsables scientifiques : Corinne Vacher (INRAE, UMR SAVE). Pour uBE : Sophie Trouvelot
Partenaires : INRAE Bordeaux (Porteur) : UMR Santé et agroécologie du Vignoble (SAVE), UMR Œnologie, UMR Ecophysiologie et Génomique Fonctionnelle de la Vigne (EGFV), UMR Amélioration génétique et adaptation des plantes (AGAP), Equipe-projet PLEIADE (INRAE-INRIA)
uBE : UMR Agroécologie (uBE, INRAE Dijon)
Institut Français de la Vigne (IFV)
Institut de Systématique, Evolution et Biodiversité (ISYEB, MNHN)
Université de Rennes : UMR Ecosystèmes, Biodiversité, Evolution (ECOBIO)
Durée : 2025-2030
Afin d’anticiper le retrait des substances actives contre le mildiou de la vigne (Plasmopara viticola), il est nécessaire de repenser l’agroécosystème viticole en considérant chaque cep comme un holobionte connecté à des réservoirs de biodiversité microbienne.
Dans ce contexte, le projet a donc 2 objectifs majeurs :
(1) Identifier les micro-organismes conférant une protection contre le mildiou de la vigne (via une action directe sur le pathogène aux différentes phases de son cycle ou la stimulation des défenses de la vigne), en comparant les microbiotes foliaires et racinaires de ceps avec des sensibilités différentes au mildiou ;
(2) Evaluer l’effet de pratiques agroécologiques (variété, biosolutions, couverts végétaux, vitiforesterie, prophylaxie, vititunnel) sur les microbiotes du sol, des racines et des feuilles, pour identifier des pratiques compatibles avec le renforcement et le maintien d’un microbiote protecteur contre le mildiou.